pélicans
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UNE HISTOIRE DE PELICANS
- Par ROME Samantha
- Le 24/10/2016
- Dans DANS L'ATELIER
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L’Automne se poursuit, le temps clément permet de faire de belles balades, et de prendre l’inspiration pour les tableaux futurs.
La lumière du soir est merveilleuse et les matins sont magiques.
Mais trêve de flâneries, c’est à cette période qu’il faut préparer les tableaux pour les expositions à venir, prévoir les dossiers et les tableaux pour les salons.
Bref, il va falloir bosser...
Après une année consacrée à la réflexion, la recherche et la remise en question sur mon art, je me sens d’attaque !
Plein d’idées en tête que j’ai hâte de les mettre en œuvre.
Cela fait plusieurs mois que j’ai commencé un pastel qui me tenait à cœur, d’après une photo de ma mère (oui je dépêche la famille pour les photos également …).
J’ai tout de suite été attiré par le rythme des postures des pélicans faisant leur toilette sous le regard des cormorans (les coquins… peut être à l’affut d’un poisson caché dans les plumes )
Jj’ai tenté plusieurs approches, mais le déclic s’est fait lorsque j’ai fait le cygne lors de la démonstration faite à Yrouerre.(cf le billet sur le salon des pastelliste de l’Yonne).
J’ai beaucoup aimé concilier le figuratif et l’abstrait.
Aussi j’ai fait de même avec les Pélicans qui se tiennent devant un décor abstrait, tout en lumière et en mouvement.
Le mouvement derrière les oiseaux est assez vigoureux, telle une eau qui s’éclate sur les rochers contrastant avec le calme de la toilette, calme renforcé par l’idée de l’eau donné par les aplats jaune à leurs pieds.
J’ai adoré crée les troncs sur lequel ils reposent, tout en matière, avec les fientes qui animent ce bois mort au formes rondes.
Le prochain tableau va s’inspirer fortement du petit format champs fleuris.
J’ai hâte de me replongé dans cette haute herbe tout en fleur, et ces couleurs inspirées des tonalités que prend le champ voisin dès que le soleil se couche... Et bien entendant parsemer des chevaux et poneys de mes voisins, ça va je n’ai pas loin à aller !
Aller j’y retourne !